Anticiper les besoins d’une société en perpétuelle mutation : ce pourrait-être le leitmotiv de l’école d’ingénieurs de l’Université de Strasbourg. Christophe Collet, son nouveau directeur, nous en dit plus sur une institution qui, en 46 ans, n’a pas pris une ride.
Le monde change très vite : comment s’adapte votre école ?
Depuis mon arrivée à Télécom physique Strasbourg (TPS) en tant que professeur, il y a quinze ans, de profonds changements ont été opérés : l’intégration au sein de l’Unistra, en 2009, avec la fusion, puis le changement de nom, en 2012 [TPS s’appelait École nationale supérieure de physique de Strasbourg, N.D.L.R.], la création du laboratoire ICube, en 2013. J’ai participé en 2005 à la mise en place du master recherche Imagerie, robotique et ingénierie du vivant. Une création qui précédait celle du diplôme d'ingénieurs spécialisé Technologies de l’information pour la santé (2010) puis du diplôme d'ingénieurs spécialisé Réseaux et télécommunication, le « petit dernier » (2013). La transition numérique est devenue incontournable et modifie profondément le travail de l'ingénieur. Il y a une nécessité impérieuse de proposer aux entreprises des ingénieurs formés aux nouveaux modes de production, alliant innovations et recherche, dans un contexte de ré-industrialisation de la France autour du concept d'usine du futur*.
Vous formez actuellement 450 ingénieurs. Avec quelles particularités ?
La centaine d’élèves par promotion de notre filière généraliste, mais aussi tous les futurs ingénieurs formés par TPS, le sont selon une logique pluridisciplinaire. Physique, électronique, photonique, informatique, robotique, traitement d’images et de signal, font partie de leur cursus, ce qui est très apprécié en entreprise. En outre, l’apport d’une solution technologique seule ne suffit pas dans le monde réel. En santé par exemple, avec la problématique du maintien à domicile, le dialogue avec patients, familles, gérontologues est essentiel. L’enjeu pour nous est d’emmener des jeunes sortant de classe prépa vers le travail en équipe à travers les projets ingénieurs, capables d'argumenter des choix scientifiques mais aussi de dialoguer et d’intégrer dans leur réflexion les problématiques de différents corps de métiers.
Est-ce la raison pour laquelle vous fonctionnez beaucoup en réseau ?
C'est là un point essentiel. Nos cinq formations d'ingénieurs s'appuient sur un réseau de partenaires académiques et industriels fort et ancien. Dans le cadre de notre intégration au réseau Alsace Tech, nous souhaitons mettre en place des collaborations avec d’autres élèves ingénieurs en projets en mettant en réseau nos fablab. Notre inscription dans le réseau d’écoles d’ingénieurs Ampere est aussi un atout non négligeable pour notre rayonnement international. Enfin, notre association avec l’Institut Mines-Télécom depuis 2008 nous permet de bénéficier d'une excellente visibilité nationale en formation et recherche.
Justement, parlez-nous de cette ouverture internationale…
Nous attirons chaque année une vingtaine d’étudiants chinois, mais aussi des Brésiliens, des Américains, des Canadiens, et nos étudiants partent à l’étranger, en stage obligatoire de trois mois minimum à l'étranger ou lors d’une période de mobilité académique d'un semestre. Nous avons des projets de doubles diplômes avec l’École polytechnique de Montréal et Chicago. Et les partenariats avec la Chine et le Brésil ne cessent de s’étoffer. Une dimension qui me tient à cœur, puisqu’avant de prendre la direction de TPS, en septembre 2015, c’est une tâche dans laquelle je me suis fortement investi pendant quatre ans. L’excellence de la recherche d’ICube, auquel nous sommes adossés et à laquelle les enseignants-chercheurs de l'école contribuent, joue en faveur de notre attractivité.
L’alternance est aussi à l’honneur à TPS…
Effectivement, deux de nos formations sont proposées en alternance, et nous souhaitons encore développer cette dimension. L’enjeu est de trouver le bon vivier d’étudiants, sortant d’IUT, notamment. Pour nous aider dans cette tâche, nous venons de recruter une chargée de mission Relations écoles-entreprises, pour trois ans.
Quid de l’ingénierie au féminin ?
De ce côté-là, l’école est très en pointe : notre filière généraliste est très bien placée côté mixité, et les effectifs du diplôme TIC-santé par exemple sont composés à 60 % de femmes. Une évolution qui s’est faite naturellement !
Propos recueillis par Elsa Collobert
*Équipement financé au sein de TPS grâce à une campagne lancée avec la Fondation Université de Strasbourg.
La Faculté des sciences historiques prépare l’ouverture, à la rentrée prochaine, d’une licence Histoire et civilisation des mondes musulmans. Une licence qui n’a rien à voir avec une formation théologique, mais doit permettre à ceux qui la suivent de mieux comprendre les mondes musulmans, à travers une étude historique et culturelle.
« Notre objectif est de faire comprendre les mondes musulmans au travers d’une histoire critique qui court de l’origine de l’islam à nos jours », explique Benoît Tock, doyen de la Faculté des sciences historiques. Cette nouvelle formation s’inscrira dans un programme lancé par le ministère de l’Éducation nationale et visant à améliorer la connaissance de l’islam et à lutter contre la radicalisation. « Techniquement, il s’agira d’un parcours de la licence d’histoire, précise Benoît Tock. Elle ne s’adresse pas à un public de religieux musulmans, mais est ouverte à tous les bacheliers, qu’ils soient de culture musulmane ou pas, qui s’intéressent à cette civilisation. » La formation fera également une place importante, grâce à une collaboration avec la Faculté des langues et des cultures étrangères, à l’étude de l’arabe classique, ainsi qu’au perse, au turc ou à l’arabe standard. Car en histoire, il est important de pouvoir lire les sources elles-mêmes, plutôt que leur traduction.
Des débouchés multiples
Les profils des diplômés en histoire et civilisation des mondes musulmans pourront intéresser les collectivités locales pour des missions en lien avec les populations de culture musulmane, ou encore les organismes publics ou privés qui travaillent avec les pays musulmans.
Reste à la Faculté des sciences historiques à recruter des historiens spécialisés et à affiner la maquette de formation. Pour d’évidentes raisons de timing, ce nouveau parcours de licence de figurera pas dans la plateforme Admission post-bac cette année. « La première année sera sans doute assez expérimentale », commente Benoît Tock.
« Nous n’avons pas l’illusion que la création de cette formation puisse amener à la déradicalisation d’apprentis terroristes. Mais en participant à une meilleure connaissance de l’islam, elle peut apporter une partie de la réponse aux problèmes sociétaux que nous rencontrons, qu’elle touche des personnes de culture musulmane ou pas », conclut-il.
C. L.
Depuis la mi-février, Baptiste Cogitore, journaliste reporter d'image et Guillaume Thépot, rédacteur scientifique, ont rejoint l'équipe du Service de la communication de l'université, dans le cadre d’un projet Idex communication scientifique.
Leur objectif : montrer la recherche en train de se faire au sein des laboratoires de l’université, son dynamisme et son actualité au travers de contenus compréhensibles et attractifs de différents types : reportages vidéos et audios, articles de fonds, dossiers thématiques ou brèves.
Découvrez dans ce numéro de L’Actu et sur le site portail de l’Université un reportage réalisé à l'Observatoire astronomique de Strasbourg (UMR7550, Unistra/CNRS) sur le décryptage de l'importance et de l'impact de la découverte des ondes gravitationnelles.
Le 11 février 2016, une équipe d'astronomes a annoncé avoir enregistré pour la première fois des ondes gravitationnelles, grâce à l'interféromètre américain Ligo. Il s'agit d'une infime déformation de l'espace-temps, prédite par Albert Einstein dans sa théorie de la relativité générale en 1915, et provoquée par un phénomène de très haute énergie. Jusqu'ici, les chercheurs tentaient de confirmer l'existence de ces ondes. Celles-ci auraient été émises il y a un milliard d'années, lors de la fusion de deux trous noirs, des objets encore mal connus sur lesquels travaillent notamment des chercheurs strasbourgeois. À l'Observatoire astronomique de Strasbourg, les équipes ont accueilli cette découverte avec enthousiasme. Nouveau messager, les ondes gravitationnelles ouvrent un vaste champ d'étude en astronomie.
Ils sont six, recrutés par le Centre d’accueil médico-psychologique universitaire de Strasbourg (Camus) et le Service universitaire de médecine préventive et de promotion de la santé (Sumps) à travers le dispositif Rescue (Réseau étudiant relais campus Esplanade). Leur mission ? Aller à la rencontre des étudiants en difficulté et s’en rapprocher pour les orienter vers les services adaptés, à l’université ou ailleurs.
Yaye, Mathieu, Leila, Viktor, Clémence et Sara sont étudiants, de la licence au doctorat, en physique, en droit, en linguistique, à Sciences po… Depuis le début de l’année universitaire, ils revêtent régulièrement leur badge d’étudiants relais campus pour se présenter dans les amphis, auprès des professeurs, de l’administration de leur composante, et pour être bien identifiés auprès des autres étudiants. « Lorsque le dispositif a été mis en place, en janvier 2014, ils avaient du mal à être visibles et crédibles », se souvient le docteur Corinne Clarac, directrice du Sumps. Mais en un peu plus d’un an, les étudiants relais campus ont largement fait la preuve de leur utilité : 96 étudiants ont été réorientés, en fonction de leurs difficultés, vers le Sumps, le Camus ou l’assistance sociale grâce à eux, entre janvier et mai 2014. Et, quelques jours après la rentrée de septembre, les étudiants relais campus avaient déjà reçu près de cinquante courriels !
Des étudiants relais cités aux étudiants relais campus
Ce genre d’initiative met en lumière la solitude, le stress, les troubles du sommeil, les situations d’échec scolaire, les difficultés financières, accompagnés d’addictions de toutes sortes et de risques de suicide, qui peuvent exister dans la population étudiante. Valérie Vaxelaire, psychologue au Camus, est chargée de recruter les étudiants relais campus, de les former avant leur mission et de les superviser par la suite : « Il s’agit de leur donner des repères sur des notions comme la confidentialité ou les structures existant à l’université. Mais attention, ils ne viennent pas s’y substituer ! Ils agissent véritablement comme des relais entre les étudiants qui ne vont pas bien et les professionnels de la santé et du social ». Parce qu’ils sont parfois confrontés à des situations éprouvantes, les étudiants relais campus se réunissent tous les quinze jours, en compagnie de Valérie Vaxelaire, lors de temps d’échange. Même s’il n’existe pas de profil type, un bon étudiant relais campus doit être à la fois prompt à s’ouvrir à l’autre, tout en gardant distance et tact nécessaires. Être polyglotte est aussi un atout : à l’heure actuelle, l’anglais, l’allemand, l’espagnol, le polonais et l’arabe sont les langues représentées parmi les étudiants relais campus.
Si l’idée de recruter des étudiants pour parler aux étudiants en situation de mal-être est lumineuse, elle n’est pas nouvelle à Strasbourg : « Dès 2004, le professeur Michel Patris*, à l’origine de Rescue, a eu l’idée de mettre en place des étudiants relais dans les cités universitaires, chargés de repérer les étudiants en situation de mal-être », poursuit Corinne Clarac. Le dispositif, qui a fait ses preuves, est aujourd’hui financé par le Crous et a été étendu à la mise en place, entre autres, d’animations pour favoriser le lien social. Après un temps d’inquiétude pour Rescue, Corinne Clarac est rassurée : pour faire suite aux subventions de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et des conduites addictives (Mildeca) et de l’Agence régionale de santé (ARS), puis à l’obtention d’un crédit Idex, la pérennité du réseau semble assurée, grâce à son inscription au sein du Schéma directeur de la vie étudiante.
*Alors directeur médical du Camus.
E. C.
La Direction informatique et la Direction des usages du numérique lancent une campagne de sensibilisation dédiée au mot de passe. Ce code secret personnel que vous utilisez, couplé à votre identifiant, pour accéder à votre session informatique, votre E.N.T., votre messagerie, etc . doit être assez complexe pour assurer votre sécurité numérique, mais assez parlant pour ne pas être oublié. Il ne doit être communiqué à personne….
L’objectif de cette campagne est bien sûr de rappeler à la communauté universitaire l’importance de choisir un vrai mot de passe robuste et personnalisé car sa défaillance peut avoir des conséquences graves en termes de sécurité informatique et de protection des données pour soi-même et pour l’établissement. Par ailleurs, le support informatique reçoit beaucoup d’appels d’usagers ayant un problème avec leur mot de passe, alors qu’un choix approprié permettrait de limiter les risques d’oubli.
C’est donc le bon moment pour vous demander si vous avez un bon mot de passe. Et pour cela, prendre connaissance des critères et conseils énoncés sur la page dédiée du site des services numériques.
Faites le test, et si vous répondez « non » à la question "Ai-je un bon mot de passe ?", vous trouverez toutes les bonnes infos pour le modifier !
Le projet européen Musik kreativ +, dédié au développement de méthodes favorisant la créativité et l’esprit d’entreprise par la musique et la collaboration culturelle, et porté entre autres en France par le Centre de formation de musiciens intervenants (CFMI) de Sélestat, entre « dans le dur ». Le tournage des séquences qui figureront dans des DVD à vocation pédagogique a commencé, avec une captation orchestrée par la Direction des usages du numérique.
Lui aux cymbales, elle aux flûtes traversières, ils se répondent par touches tantôt délicates tantôt appuyées et modulations du souffle, dans un décor géométrique à la Piet Mondrian. Le tout sous l’œil vigilant de quatre caméras. Olivier Maurel et Ayako Okubo font partie de l’ensemble Hanatsu miroir. Ils ont travaillé main dans la main avec les futurs musiciens intervenants du CFMI de Sélestat, pour élaborer des scènes courtes destinées à figurer sur un DVD. Double objectif de cette « mallette pédagogique numérique » : « Les professeurs pourront présenter à leurs élèves d'écoles maternelles et élémentaires les instruments (flûtes et percussions) et les différentes sonorités qu’ils offrent, en amont de la venue du musicien intervenant en classe », détaille Olivier Maurel. Côté technique, c’est le département Production audiovisuelle de l’Université de Strasbourg qui s’occupe de la captation des images, les cadrages étant choisis par Marie-Anne Bacquet, scénographe d’Hanatsu, et le montage réalisé par Pierre-Guy Auger.
La partition qu’interprètent les musiciens d’Hanatsu miroir ce jour-là, répétée inlassablement pour traquer la moindre fausse note, est l’une des trois pièces musicales tournées « dans des lieux improbables et visuellement intéressants de Strasbourg, choisis pour leur acoustique en cohérence avec les identités des pièces, explique Sophie Marest. Après l’Aubette décorée par Hans Arp, le tournage prendra ses quartiers au Palais Rohan et dans un hangar en bois à l’aérodrome du Polygone. » La directrice du CFMI est aussi la coordinatrice de Musik kreativ + pour la France : « Dans chacun des quatre pays membres du projet – Allemagne, République Tchèque, Hongrie, France – trois partenaires sont impliqués : une université, un établissement scolaire et un ensemble de musique professionnel* ».
Grâce à un financement Erasmus +, la coopération se concrétise par des rencontres immersives régulières, et le matériau pédagogique imaginé se décline différemment selon les pays (rencontre de musique africaine et contemporaine en Allemagne, quatuor à cordes classique en Hongrie, approche folklorique incluant la danse en République Tchèque, cré-action musicale collective inspirée par la musique contemporaine et la poésie japonaise en France). Les captations vidéo, rendu final de ce travail, sont toutes pensées pour être accessibles dans d’autres pays, car uniquement musicales.
E. C.
* En France, il s'agit de l’école élémentaire Wimpfeling (Sélestat), de l’ensemble Hanatsu miroir et du CFMI, département de la Faculté des arts de l’Université de Strasbourg.Alors que la Semaine nationale de l’artisanat* se termine tout juste, le directeur d’Espace Avenir, Dominique Philippe, dresse un état des lieux des débouchés offerts par cette branche du secteur secondaire, vivier d’emplois sous-estimé par les diplômés du supérieur.
On peut travailler dans l’artisanat après un parcours à l’université : c’est un discours pour le moins inhabituel…
Cela correspond pourtant à une réalité, même méconnue. L’artisanat est un secteur à la pyramide des âges vieillissante, qui offre d’ores et déjà de nombreuses opportunités aux jeunes diplômés. Notamment en termes de reprise d’entreprise, ce qui nécessite un niveau minimum de connaissances générales en droit, gestion, comptabilité, management, ressources humaines, notamment. On peut ainsi imaginer un commercial diplômé de l’université qui complèterait sa formation par un CAP ou un bac pro dans un secteur artisanal, en apprentissage accéléré (puisque centré sur la pratique) : il saurait de quoi il parle face à ses clients. Autrement dit, un profil en or pour un potentiel employeur. Finalement, l’université, où l’on raisonne en termes de compétences, et l’artisanat où le concept de métier domine, sont très complémentaires ! Les responsables de secteurs comme le bâtiment ou en tension comme l’hôtellerie-restauration ne cessent de nous le répéter : les étudiants les intéressent.
Des passerelles existent également en cas de réorientation ?
Nous recevons des étudiants en proie au doute quant à leur orientation : au fil de la discussion peut émerger un goût particulier, parfois remontant à l’enfance, pour la cuisine, le bois, le métal… Il s’agit alors de leur ouvrir des pistes auxquelles ils n’auraient pas songé. Pour cela, Espace Avenir organise des sessions d’information sur l’artisanat, invite des représentants du secteur, qu’un étudiant n’est pas forcément habitué à côtoyer. Dans le cadre de la construction d’un projet professionnel, il est possible d’organiser des sessions d’immersion d’une semaine en entreprise ou des stages, en lien avec la Chambre de métiers et d’artisanat d’Alsace.
Quel est le message à faire passer pour l’université ?
L’enjeu est de faire évoluer des représentations bien souvent erronées : l’artisanat offre de bonnes conditions de travail et de rémunération, certaines de ses entreprises sont à la pointe de l’innovation. Et, ne l’oublions pas, le premier pourvoyeur d’emploi au niveau national, ce ne sont pas les grands groupes, mais bien les PME, et elles très nombreuses dans l’artisanat, dans une grande variété de domaines !
Propos recueillis par E. C.
* Du 11 au 18 mars 2016Avant de faire peau neuve et de vous proposer des objets déployant le nouveau système d’identification de l’université*, la boutique Unistra déstocke.
Vous pourrez ainsi acheter un sweat à capuche à 10 euros, un T-shirt à 5 euros ou encore un mug à 3 euros. Retrouvez les tarifs du déstockage à partir de lundi 21 mars sur la page de la boutique.
* Projet bénéficiant du soutien des Idex, dans le cadre des Investissements d'avenir.Tout au long du mois de mars, les bibliothèques de l’Université de Strasbourg recueillent l’avis des lecteurs sur l’accueil et les services qu’elles proposent.
Le questionnaire de satisfaction est court, moins de cinq minutes suffisent pour le remplir. Il est disponible en ligne et en version imprimée dans les bibliothèques de médecine et odontologie, du Pege, U2-U3 ainsi que dans les médiathèques de l’Espe. Y sont notamment évalués : l’accueil, les horaires, l’accès aux collections, les services, la signalétique, les animations.
La labellisation Marianne se poursuit
Cette enquête est lancée dans le cadre de la labellisation Marianne portée par l’Université de Strasbourg, initiée par l’État et applicable à l’ensemble des services publics. L’université, impliquée dans la démarche depuis plusieurs mois, a déjà vu son Service de la vie universitaire remporter ce label (lire dans L’Actu du 3 juillet 2015). Elle vise à améliorer l’accueil des usagers, en présentiel ou à distance. Les bibliothèques s’en saisissent pour mieux répondre aux attentes de leurs lecteurs. Exprimez-vous !
Mars | Avril | |
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Conseil académique 14 h - Mardi | / | 26 |
Congrès 14 h 30 - Mardi | / | / |
Conseil d'administration - CA 14 h - Mardi | 1-29 | / |
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU (ex-Cévu) 14 h - Mardi | 22 | / |
Commission de la recherche - CR (ex-CS) 14 h 30 - Mercredi | 16 | / |
Conférence des directeurs de composantes 14 h 30 - Mardi | 8 | 5 |
Conférence des directeurs des unités de recherche 10 h - Vendredi | / | / |
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux 9 h - Lundi | 7 | / |
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail 8 h 30 - Jeudi | 24 | / |
Comité technique d'établissement 9 h - Jeudi | / | 28* |
*Présence d'Alain Beretz à confirmer |
Envoyez votre info à medias@unistra.fr avant le mardi 19 avril midi pour une parution le vendredi 22 avril 2016. Consultez les dates des prochains numéros.